Orson Scott Card La porte des mondes

L'apprenti Alvin et le soc bon-rien (Prentice Alvin and the no-good plow, 1990)
Traduit par Patrick Couton
L'Atalante 1999
30 pages     2-84172-121-3
Uchronie. Date de la divergence :  1774
Les Chroniques d'Alvin le Faiseur

Le Septième Fils
Le prophète rouge
L'apprenti
L'apprenti Alvin et le soc bon-rien
Le compagnon
L'homme-au-grand-sourire
Flammes de vie

Quatrième de couverture

C'était le jeune Alvin, apprenti forgeron,
Il escouait le soufflet, affilait les couteaux,
Il ébarbait les clous, allumait le charbon,
Rien de bien singulier le distinguait, ce drôle,
Sauf une chose: il voyait le monde de guingois,
Voyait dedans les arbres, au bord de la lumière,
Le vil menteux glacé au sourire noir et froid
Qui frémissait, luisant, juste au coin de ses yeux.
Oh, l'étais astucieux.

Nota: ce petit livre est une édition hors commerce d'un poème reprenant le monde d'Alvin. Il devrait être disponible chez tout bon libraire, sinon en s'adressant directement à l'Atalante.

 

© La Porte des Mondes et Icarus
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