Wolfgang Jeschke La porte des mondes


 
Le dernier jour de la création (Der letzte tag der schöpfung, 1981)
Traduit par Marie-Noelle Ruckwied
Denoël coll. Présence du Futur n°316 (1981)
247 pages          
Uchronie. Date de la divergence :  pléistocène
Quatrième de couverture : 

Que cet objet de forme phallique découvert au Moyen Âge par un pêcheur au large des côtes italiennes ne soit pas, comme la chrétienté l'a cru pendant des siècles, le membre de saint Vit, il y a de quoi désoler les bigotes, mais surtout étonner les savants car il date indubitablement de la préhistoire... et pourtant c'est du plastique.
De même pour la jeep déterrée au XIX ème siècle, sous les ruines d'une forteresse à Gibraltar!
Seuls y comprendront quelque chose les rares militaires et technocrates qui, avec une audace n'ayant d'égale que leur mépris de la "chair à canon" et leur ignorance des paradoxes temporels, sont en tain de mijoter le plus énormes hold-up de toute l'histoire humaine!
Voilà un livre à ne pas mettre entre toutes les mains, et surtout pas entre celles des politiciens qui cherchent actuellement à résoudre le problème du pétrole.

Né en 1936 à Teschen, en Tchecoslovaquie, Wolfgang Jeschke vit en Allemagne depuis son enfance. Après avoir travaillé dans la métallurgie, il entre à l'université de Munich, où il étudie la littérature et la philosophie. Ses premiers textes de science-fiction paraissent dès 1955; actuellement directeur d'une importante collection de poche, il s'efforce de promouvoir la science-fiction allemande. 

 

© La Porte des Mondes et Icarus
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