Fred Hoyle La porte des mondes

Le 1 er octobre il sera trop tard (October the first is too late, 1966)
Traduit par Chantal de Richemont
Nouvelles Editions Oswald n° 119 (1984)
195 pages     2-7304-0279-1
Uchronie. Date de la divergence :  1917
Quatrième de couverture 

Après ses deux premiers romans ( Le nuage noir, "ouvrage parfait du point de vue scientifique comme au niveau de l'extrapolation", et Ossian's Ride, jamais traduit en français), " le troisième récit de Fred Hoyle apparut encore plus originale. Le premier octobre il sera trop tard (1966) est d'abord beaucoup mieux conçus du point de vue littéraire. Les idées sur la discontinuité du temps qui en forment la base thématique sont de même passionnantes. Le monde est soudain partagés en "plaques" temporelles différentes. La Grande-Bretagne de 1966, ainsi, coexiste avec la France de 1917 (il suffira de montrer à des plénipotentiaires allemands une chaîne de haute-fidélité en la comparant aux phonographes qu'ils utilisent pour qu'ils comprennent qu'il vaut mieux arrêter les frais si toute la technologie anglaise est à ce niveau) et la Russie de l'an 8000 avec l'Amérique précolombienne. On conçoit tout ce qu'un esprit doué - et celui de Fred Hoyle l'est incomparablement - peut tirer de cet imbroglio."

Pierre Versins 
(Encyclopédie de l'utopie et de la science-fiction)

 

Né dans le Yorkshire en 1915, professeur de mathématiques à l'université de Cambridge, professeur d'astrophysique, Fred Hoyle, qui a fait partie des équipes de l'observatoire du Mont Palomar et du Mont Wilson, est un scientifique et un astronome mondialement connu. Ses écrits les plus nombreux sont des traités d'astronomie mais il est aussi l'auteur de plusieurs romans de science-fiction, qu'il signa seul ou en collaboration avec son fils Geoffrey, où la base scientifique est toujours impeccable. Signés de son seul nom, ses chefs-d'oeuvre sont Le nuage noir (paru dans cette même collection) et Le premier octobre il sera trop tard. Sous les noms de Fred et Geoffrey Hoyle ont été traduits Inferno et Au plus profond de l'espace (Présence du Futur) ainsi que d'autres romans de moindre importance chez d'autre éditeurs.

 

 

© La Porte des Mondes et Icarus
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