Greg Bear La porte des mondes

Éternité (Eternity, 1988)
Traduit par Guy Abadia
Le Livre de Poche n° 7162 (1994)
540 pages     2-253-07164-1
Uchronie. Date de la divergence : - 323.
Quatrième de couverture

La Voie s'enfonçait dans l'infini. Par endroits, elle donnait sur des Portes. Celles-ci ouvraient sur des univers parfois entièrement différents et quelques fois sur des variations de la réalité que les humains de l'Hexamone considéraient comme la leur.
D'une de ces portes avaient surgi les Jarts. Des étrangers absolus, des ennemis terrifiants.
Il avaient fallu condamné la Voie. Mais, à présent, Olmy devait rouvrir la Voie. Et aller si possible jusqu'au bout de l'éternité.
Pour vaincre les Jarts.
Ou, mieux, pour faire la paix.

Éternité est le second volet de l'oeuvre la plus ambitieuse de Greg Bear, commencé dans Eon, et qui a le souffle et l'envergure des inventions les plus audacieuses d'Arthur C. Clarke ou d'A. E. Van Voght.

 

© La Porte des Mondes et Icarus
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